
Plan IGN
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Plan IGN
Photos aériennes / IGN
Open Street Map
Inchangé depuis 1939 ! 1279 mètres de frissons pour les pilotes et d'émotions pour les spectateurs. Un Grand Prix en ville mythique dans un environnement de rêve. Authentique, conviviale et festif !
Vendredi soir : Concours d'Élégance à 20h30 sur l'Esplanade du Champ de Mars. Spectacle gratuit.
Samedi : Les Rallyes et le Concours d'État et de Restauration Exposition des voitures en permanence.
Dimanche : Courses FFSA et démonstrations de 8h à 19h sur le circuit historique.
Visibles uniquement avec l’achat d’une entrée.
Ouverture de la billetterie le 14 décembre sur leur site internet.
Sur le plateau d'Angoulême
Deux grandes chambres récemment rénovées avec salle de bain privée dans une maison historique.
Le Théâtre d'Angoulême fait partie du réseau des scènes nationales. Lieu pluridisciplinaire, il affirme son attachement au théâtre, à la danse, aux arts de la piste, aux musiques classiques, jazz avec une attention particulière à l'enfance et la jeunesse.
Magnifiquement rénové en 1997 par les architectes Valentin Fabre et Jean Perrottet, le Théâtre d'Angoulême - scène nationale est doté de 3 salles de spectacles : la Grande Salle, le Studio Bagouet et l'Odéon. Architecture ancienne et aménagement contemporain donnent à ce lieu un caractère unique et chaleureux.
Une cinquantaine de spectacles sont présentés chaque saison auxquels s'ajoute un festival de spectacles enfance et jeunesse : La tête dans les nuages en mars.
Au début de l’été, remparts, parcs, places servent plus que jamais d’écrin à la nature.... Chaussez vos baskets et profitez des espaces verts de la ville aux 4 fleurs.
Balade accompagnée et commentée par un guide de l’office de tourisme.
Aimer et vivre, vivre fort, sans avoir peur de ses rêves : c’est ce à quoi nous exhorte ce spectacle adapté d’un court roman de Dostoïevski.
Une histoire de rencontre et d’insomnie qui invite chacun et chacune à plonger dans les profondeurs de la pensée et de l’émotion absolue !
C’est l’histoire d’une rencontre sur un pont, au creux de la nuit, entre deux inconnus. L’un promène ses rêveries dans les rues de la ville, l’autre attend le retour de l’homme qu’elle aime. Au gré de rendez-vous successifs, ces deux solitudes vont apprendre à se connaître, partager leurs idéaux, leur soif d’absolu. Dans ce texte de jeunesse, Dostoïevski affirme déjà son goût pour l’exploration des âmes humaines. Pour adapter à la scène ce récit concentré qui se déroule sur quatre nuits, Mathias Zakhar a fait des choix très cinématographiques : un dispositif au plus près des spectateurs qui nous immerge dans l’histoire, comme si nous surprenions une conversation ; une scénographie fluide, autour d’un simple banc ; une bande-son enveloppante.
Visuel © Christophe Raynaud de Lage
Le circassien Martin Palisse nous dévoile le défi qu’il a choisi de se lancer en se consacrant au cirque : vivre avec la mucoviscidose. Avec pudeur, rage ou dérision, il se livre, jonglant avec les balles et les mots. Et il nous impressionne !
Seul en scène, avec ses alliées, trois balles de cuir noir, il raconte, simplement, l’incidence de la maladie sur une vie, sur sa vie. Et comment il la tient en respect dans un mélange bravache de volonté farouche et de dérision. Ce texte autobiographique, écrit et mis en scène avec la complicité du metteur en scène David Gauchard, Martin Palisse le livre en même temps qu’il jongle et marche, court, arpente l’espace de jeu qui se réduit à un long couloir lumineux. Un geste épuré, puissant, exigeant, qui l’amène à puiser loin dans ses ressources physiques. Si l’on sent sa fatigue, son effort, ce sont paradoxalement sa force, sa créativité et son farouche désir de vivre que l’on retient. Intense et revivifiant !
Photo©Christophe Raynaud de Lage
Le metteur en scène Sébastien Valignat nous livre un véritable petit manuel d’autodéfense intellectuelle dans une vraie-fausse conférence aussi ironique que solidement étayée.
Attention, ce n’est pas à un spectacle ordinaire que vous allez assister, mesdames et messieurs, mais à une conférence. Une conférence gracieusement offerte par deux scientifiques issus du GIRAFE (Groupe international de recherche pour automatiquement fédérer les électeurs). Leur ambition ? Vous aider à remporter votre scrutin en vous apportant les outils nécessaires tels que : avoir toujours quelque chose à dire ; faire disparaître le conflit ; et, l’art le plus difficile, celui d’avoir toujours raison !
Auteur, metteur en scène et comédien, Sébastien Valignat nous propose donc ici un vrai kit d’autodéfense intellectuelle car, selon lui, il y a urgence. Urgence à nous armer intellectuellement face à des politiques ou autres as de la communication qui dévoient le sens des mots et utilisent régulièrement des sophismes, ces faux arguments aux apparences de vérités comme « le sophisme de la pente glissante » ou celui « du hareng fumé ».
Visuel © Émile Zeizig
De la salle de classe à l’open space, des personnages se croisent et se heurtent, explorant avec finesse et ironie la violence quotidienne et les jeux de pouvoir à l’œuvre dans nos vies. Une pièce brillante mêlant théâtre documentaire et fiction.
Qu’est-ce que la violence ? Comment naît-elle ? Existe-t-il des violences légitimes ? Les Moments doux prennent pour point de départ une affaire qui avait fait grand bruit en 2015, lorsque deux dirigeants d’Air France s’étaient vu arracher leur chemise dans un mouvement de protestation contre un plan de licenciement. Pour poser la question de la légitimité de la violence et des rapports de force entre les individus, la compagnie Babel a mené des dizaines d’entretiens, en entreprise, dans les foyers et les tribunaux, développant ainsi un formidable travail documentaire. Conçue comme un petit laboratoire de nos relations humaines, cette pièce explore la manière dont la violence se trame dans nos espaces intimes et sociaux, de la salle de classe à l’open space, en passant par le salon familial ou le plateau d’un spectacle.
Visuel © Christophe Raynaud de Lage
Avec espièglerie, onze fabuleux danseuses et danseurs s’amusent à faire exploser les clichés de la danse classique et le regard sur l’autre. Facétieux et virtuose, indubitablement joyeux, et surtout farouchement libérateur !
Sur la scène, onze danseur•e•s nous regardent, sourire aux lèvres. Une silhouette se détache du groupe, nous incite à applaudir. Alors comme ça, on commence par la fin ? Il aura suffi de cinq minutes et d’une situation absurde pour que la complicité s’installe entre Silvia Gribaudi et son public : ici, on ne fera rien comme attendu, et on prendra même un certain plaisir à distordre les codes établis. À commencer par le « grand jeté », ce grand écart en l’air considéré comme l’un des pas les plus virtuoses du ballet. Ce saut magistral, un must des scènes finales, la chorégraphe italienne à l’esprit clownesque va, avec les dix interprètes de la MM Contemporary Dance Company (compagnie italienne reconnue internationalement pour sa qualité), en faire le début d’autre chose, lui donner un nouvel élan. Dans Grand jeté, les pliés, tours en l’air et autres pas « de bourrée », toutes ces figures imposées de la danse, sont pris au pied de la lettre et débouchent sur d’autres imaginaires.
Photo © Vojtěch Brtnický
Installez-vous confortablement au bar du théâtre, observez les poses et… croquez !
Trois mercredis dans la saison, le Collectif Animation 16, constitué de professionnels et étudiants en animation de la ville d’Angoulême, donne rendez-vous aux dessinateurs passionnés pour une séance pas comme les autres !
Autour de spectacles de la programmation, un thème est donné.
Mercredi 13 novembre autour de Frankenstein
Mercredi 11 décembre autour de Musique de tables
Mercredi 9 avril autour de Les Nuits blanches
C’est la jeune artiste qui subjugue les amoureux de cet instrument mythique qu’est la basse. Avec une présence scénique irrésistible, Kinga Głyk dispense un jazz-rock gorgé de groove et de fusion qui électrise. À découvrir d’urgence !
Les femmes bassistes de jazz ne sont pas très nombreuses, c’est le moins que l’on puisse dire, mais l’une d’entre elles fait beaucoup parler : Kinga Glyk ! Et pas seulement pour son émouvante reprise de Tears in Heaven d’Eric Clapton, visionnée plus de trois millions de fois sur YouTube. À vingt-sept ans, la bassiste et compositrice polonaise a déjà derrière elle quinze années de carrière – fille de
vibraphoniste, elle a commencé à douze ans au sein du groupe familial, le trio Głyk P.I.K. – et elle jouit d’une belle réputation dans le monde du jazz. Il faut dire qu’elle fait preuve d’une impressionnante maîtrise de son instrument, qu’elle fait sonner avec une expressivité à tomber par terre, et que son aisance sur scène électrise littéralement le public lors de concerts mémorables ! À Angoulême, Kinga Glyk viendra entourée de musiciens réputés dans la sphère du funk ou du R’n’B pour défendre Real Life, son (déjà) cinquième opus. Douze titres très groovy, à la tonalité jazz-rock nappée de synthés en fusion, dans lesquels, avec une virtuosité et une liberté inégalées, elle laisse sa basse raconter des histoires sensibles et nuancées. Un cocktail flamboyant qu’elle maîtrise à la perfection. À consommer sans modération !
Photo © Peter-Honnemann
Avec des cartons pour seuls accessoires, un duo de comédiens irrésistibles imagine une folie burlesque digne des meilleurs clowns. Ne ratez pas cet incroyable spectacle récompensé en 2022 par le Molière du théâtre public !
Cette aventure théâtrale aussi folle que son titre, Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan l’ont imaginée dans la foulée du confinement. Banco! Leur hilarante épopée, à travers l’Europe et les siècles, d’un homme victime de la malédiction d’une sirène pêchée par mégarde, nous entraîne dans un improbable road trip grâce à de simples morceaux de carton qui se transforment en accessoires ou en panneaux indicateurs. Un pur régal ! On embarque pour quatre-vingt-dix minutes de haute voltige, assurée par une paire d’acteurs scrupuleusement dépareillée, véritable ressort humoristique éprouvé au cinéma et ailleurs. D’un côté, un barbu rondouillard, vêtu d’un costard-cravate qui ne bougera jamais de son siège et se contente de baragouiner dans un anglais shakespearien totalement réinventé. De l’autre, son maigrissime et agité compère, juste revêtu d’un slip de bain noir et préposé au récit, donc au maniement des cartons. Croisant l’esprit des Monty Python et un cartoon survolté, ce duo désassorti n’a même pas besoin de dialogues pour raconter son histoire, qui déclenche le rire de sept à cent sept ans. Parce qu’on n’aura jamais trop d’occasions d’exercer ses zygomatiques, il faut absolument voir ce « cabaret de carton » modeste et débridé, qui tourne partout depuis plusieurs saisons avec un énorme succès.
Photo © Fabienne Rappeneau
Dans cette « comédie chorégraphique » insolite, Sylvain Riéjou questionne les liens entre l’amour et la danse d’une façon à la fois cocasse et pertinente.
Adolescent, Sylvain Riéjou a fait son éducation sentimentale à travers les films populaires de son époque, notamment Dirty Dancing, qui fut, pour lui, un véritable choc, romantique bien sûr, mais aussi sensuel puisque, dès lors, ses rêves sont régulièrement hantés par… Patrick Swayze ! Confusion des genres, papillons dans le ventre et goût prononcé pour les chorégraphies en tous genres scellent son destin. Il sera danseur !
Avec Je badine avec l’amour, il a donc eu envie de questionner la place que tient la danse et son pouvoir de séduction dans la rencontre amoureuse. Le résultat sur scène est un ovni désopilant, quelque part entre stand-up, théâtre et pièce chorégraphique. Avec trois autres complices interprètes qui ont tous le verbe haut, et ni le geste ni la langue dans leur poche –, ils s’en donnent à cœur joie et revisitent extraits de films cultes des années 80 et 90, airs d’opéra, partitions de ballets romantiques et autres chansons de la variété française. L’occasion pour eux d’égratigner joyeusement les stéréotypes de genre autant que les codes de la danse contemporaine. Avec son regard savoureux, Sylvain Riéjou dessine finalement une nouvelle grammaire du duo amoureux, populaire et contemporaine, et fait passer délicatement un message : l’amour n’a pas de sexe, il est simplement universel.
Photo © Vincent Curutchet
Au départ de l'hôtel de ville, ce circuit très nature vous emmène jusqu'au golf de l'Hirondelle, parcourant des espaces naturels préservés méconnus autour d'Angoulême et offrant de superbes vues sur la ville..
Les pépites du parcours :
Fontgrave et le petit Fresquet
Les hauteurs de Ma Campagne
Le bois de St Martin
Le golf de l'Hirondelle
Le jardin vert
Des fresques aux couleurs de la BD s’affichent sur les murs de la capitale du 9ème art ainsi que des œuvres de différents artistes du Street Art… une déambulation décode les coulisses de leur histoire et de leurs techniques.
Angoulême est aujourd’hui reconnue comme la capitale mondiale de la Bande Dessinée. C’est pourquoi le muralisme intègre l’univers de la bande dessinée dans l’espace urbain sous la forme de fresques parfois monumentales. C’est un véritable parcours urbain, réalisé par le collectif lyonnais Cité Création qu’il est possible de suivre … Laissez-vous surprendre par ce nouveau visage d’Angoulême qui a su aussi attirer de nombreux talents du Street Art. Histoire, formes, techniques, tendances du Street Art… Votre guide vous donne les clés de compréhension de cette pratique à travers une sélection d’œuvres réalisées dans les rues.
La BD fait le mur ! Suivez le guide et découvrez à chaque étape les secrets des fresques murales jusqu’aux trésors des réserves du musée de la Bande dessinée.
Les murs d’Angoulême sont décorés d'une trentaine de fresques XXL qui rappellent le lien de la ville avec la Bande Dessinée. La couleur a jailli de l’imagination d’auteurs pour rendre hommage aux grands personnages de BD et à leurs créateurs. D'autres œuvres sont inspirées par les richesses d’Angoulême : l’industrie papetière, l’Unesco, les écoles et entreprises de l’image …
Le parcours proposé permet de découvrir plusieurs murs peints tout en se dirigeant vers le "quartier de l'image". Le spectaculaire Vaisseau Moebius est tourné vers la Charente où la statue de Corto regarde vers l'horizon.
Enfin, la visite s'achève par la découverte exceptionnelle des réserves du Musée de la Bande Dessinée. Accompagné d'un médiateur, le visiteur pénètre dans le saint des saints : les salles où sont conservées et restaurées des milliers d'œuvres et de planches originales.